Le Centre d’étude sur l’Évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire (CEPN) est une association à but non lucratif, fondée en 1976, pour évaluer la protection de l’Homme contre les dangers des rayonnements ionisants, sous ses aspects techniques, sanitaires, économiques et sociaux.

Les recherches et les études sont réalisées par un groupe de recherche pluridisciplinaire d’une douzaine de personnes. Le bilan du programme de recherche et d’études est présenté chaque année à un Conseil Scientifique qui émet des recommandations sur l’orientation de ce programme.

Les membres actuels de l’Association sont au nombre de trois : Électricité de France (EDF), l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) et le Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA).

Le Centre d’étude sur l’Évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire (CEPN) est une association à but non lucratif, fondée en 1976, pour évaluer la protection de l’Homme contre les dangers des rayonnements ionisants, sous ses aspects techniques, sanitaires, économiques et sociaux.

Dernières publications

La robe et le nuage

1ère de couverture

Histoires de rayons X, de radioactivité et de radioprotection

Néo Éditions

Rédigé par :

  • Jacques Lochard
  • Mireille Tabare

La robe et le nuage propose au lecteur une plongée dans le monde de la radioactivité qui n'a rien d'un pensum pour physiciens avertis. Bien au contraire, l'ouvrage, destiné au grand public, s'attache à retracer l'histoire des rayons X et de la radioactivité, ainsi que celle de son nécessaire pendant : la radioprotection. Rédigé par un spécialiste français du sujet et une journaliste scientifique, il aide à mieux comprendre la radioactivité, de La robe de Marie Curie au nuage de Tchernobyl.

Soutenu par de nombreuses images d'archives, La robe et le nuage narre, page après page, une épopée qui débute au tournant du XXe siècle, avec les découvertes presque simultanées des rayons X et de la radioactivité. À l’euphorie des découvertes portées par une science triomphante, source de progrès qui mésestime alors le danger (savants qui manipulent la radioactivité sans protection, crème de beauté au radium pour illuminer le teint, etc.), va succéder l’inquiétude et le doute après le traumatisme des bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki. Paradoxalement, les catastrophes de Tchernobyl, puis de Fukushima, vont changer la donne en redonnant à la société civile une voix qui semblait en sourdine.

Au fil des pages, on comprend que les applications des rayons X et de la radioactivité, qui se déploient aujourd’hui dans les champs de la recherche (utilisation de radio-isotopes pour « suivre à la trace » une molécule, etc.), de la médecine (radiographie médicale, radiothérapie), de l’énergie (centrales nucléaires) et de l’armement (bombes atomiques), sont les héritières d’une histoire passionnante, à la fois sur les plans techniques et humains.
Si l’homme a très vite saisi les bénéfices qu’il pouvait tirer de ces découvertes, il a dû aussi se protéger contre les effets nocifs des rayonnements, bientôt révélés par leurs premières victimes. De là est née la radioprotection, qui s’est progressivement développée dans le contexte des grandes évolutions politiques, sociales, économiques qui ont marqué le siècle dernier.

Un DVD, regroupant 10 films documentaires et des bonus, accompagne et prolonge l'ouvrage.

A propos des auteurs

Jacques Lochard, économiste et radioprotectioniste, est directeur du Centre d’étude sur l’Évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire (CEPN) et membre de la Commission Internationale de Protection Radiologique (CIPR). Expert de la réhabilitation des conditions de vie dans les territoires contaminés de Tchernobyl et de Fukushima, il est l’auteur de nombreux articles sur la radioprotection.

Jacques Repussard, ingénieur diplômé de l’École Polytechnique et de l’École nationale des Ponts et Chaussées, ingénieur en chef du Corps national des ingénieurs des Mines, assure depuis 2003 la fonction de directeur général de l’Institut français de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN).

Mireille Tabare († 2009), journaliste, est aussi l’auteur des supports écrits de nombreuses expositions scientifiques et historiques. Elle a notamment collaboré avec la Cité des Sciences et de l’Industrie à Paris, le Centre International de la Mer à Rochefort et le Pavillon des Sciences de Franche-Comté.

Sommaire

  • Préface
  • Prologue
  • Et l’homme devient transparent
  • L’épopée du radium
  • Le chaudron des alchimistes
  • Retombées
  • Zones contrôlées
  • Becquerels sous surveillance
  • Rayons pour guérir
  • Rayons d’Univers
  • L’empreinte de Tchernobyl
  • Prudence
  • Épilogue
  • Repères chronologiques
  • Bibliographie sélective

Date de parution :
01/04/2013
Éditeur :
Néo Éditions
Présentation :
Broché
128 pages + DVD
Prix :
29 euros

Expositions / Projets

Vous avez dit Radioprotection ?

Vous avez dit Radioprotection ?

« Vous avez dit Radioprotection ? Histoires de rayons X, de radioactivité… » est une exposition consacrée à la radioprotection, c'est-à-dire à l'ensemble des moyens visant à protéger les travailleurs, la population et l'environnement des effets potentiellement nocifs des rayons X et de la radioactivité.

La robe et le nuage

Robe et Nuage

La robe et le nuage propose au lecteur une plongée dans le monde de la radioactivité qui n'a rien d'un pensum pour physiciens avertis. Bien au contraire, l'ouvrage, destiné au grand public, s'attache à retracer l'histoire des rayons X et de la radioactivité, ainsi que celle de son nécessaire pendant : la radioprotection. Rédigé par un spécialiste français du sujet et une journaliste scientifique, il aide à mieux comprendre la radioactivité, de La robe de Marie Curie au nuage de Tchernobyl.

ETHOS en Biélorussie

ETHOS en Biélorussie

Le projet européen ETHOS avait pour but d’améliorer durablement les conditions de vie des habitants des villages dont la vie quotidienne a été fortement affectée par la présence à long terme de contamination radioactive à la suite de l’accident de Tchernobyl. Il s’agissait d’une nouvelle démarche pluridisciplinaire basée sur une implication forte de la population dans l’évaluation et la gestion du risque radiologique en concertation avec les autorités locales, régionales et nationales et des experts biélorusses.